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Le syndrome de Noé, un cauchemar pour les animaux

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Chaque année, dans les cantons de Genève, huit ou neuf cas sont signalés, souvent par des voisins dérangés. Les psychiatres parlent de «syndrome de Noé» autrement dit, le cauchemar des animaux.

Les personnes qui souffrent de ce syndrome accumulent toutes sortes d’animaux domestiques dont elles finissent par ne plus pouvoir s’occuper, du chat aux chiens, lapins, rongeurs, en passant par les reptiles et oiseaux. À priori, il n’y a chez elles aucune intention de nuire. Ces personnes semblent être attachées à leurs animaux, mais dépassées par la situation et dans un déni face à leur incapacité de s’en occuper.

Selon certaines études consacrées au syndrome de Noé, lorsqu’une intervention est ordonnée par les services vétérinaires, on retrouve des animaux morts dans 80% des cas. Intervenir plus tôt est très difficile, dans la mesure où les associations de protection des animaux ne sont pas autorisées à s’immiscer chez les gens pour s’assurer qu’ils prennent bien soin de leurs petits protégés. De plus, les personnes qui présentent un syndrome de Noé ne se considèrent pas comme malades. D’où un taux de récidive extrêmement élevé.

AGDA – Association Genevoise Défense Animale

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